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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 19:26

Ca devait bien finir par arriver. Mes droughies.                                                                                              

Trois ans d’embellie, c’était trop beau. Je me souviens qu’ici même, début 2010, Nine m’avait dit qu’elle sentait « bien » cette période là, que tout s’arrangerait. Elle avait raison. Jusqu’en 2013, j’ai eu ma trêve, ma « rémission ». J’ai découvert Facebook à ce moment là et ça m’a donné  envie de faire comme les autres, de pouvoir montrer moi aussi ce que j’étais (peut-être) capable de faire. Oh, pour moi, ça signifie des trucs anodins pour toute personne « normale ». Mais aller chez le coiffeur, au ciné, à la plage, sortir, quoi, c’était énorme. Donc j’ai fait autant de photos souvent sans grand intérêt que possible, et je les ai postées, en racontant mes petites aventures. Mais là j’ai plus grand-chose à dire, et même plus envie de dire ni de faire grand-chose.

 

« Ca » est revenu. Et en force.

 

2013 a été une année de transition. J’ai senti que je « redescendais », que la merde allait pas tarder à toucher le ventilo mais j’ai pas su ou voulu quoi faire.

 

Et puis il y a environ un mois j’ai eu une crise de vertiges, un soir, tard. J’ai fait venir le médecin, et ai appelé ma mère pour qu’elle soit à mes côtés. J’étais en panique totale, me sentant complètement seule et sur le point de mourir. L’Homme et les filles étaient là pourtant, mais lui s’est couché avant l’arrivée du doc et les gamines, les pauvres, elles flippaient…  Le médecin m’a auscultée et a conclu qu’il n’y avait rien de grave, que probablement ces vertiges « bénins » avaient déclenché une attaque de panique qui elle-même entretenait désormais les vertiges, etc. Le cercle vicieux. Et depuis c’est le désastre. Je n’ai de répit (et encore) que quand je dors, mais à la seconde de mon réveil c’est cœur à 200 à l’heure et littéralement terreur de la journée à affronter. Pourtant, vu que je suis complètement décalée (je m’endors vers 5h00 et me lève vers 14h00, mais réveillée en sursaut toutes les heures et rebelote la galère pour me rendormir), bref, il reste finalement peu de « journée » à affronter.Au temps pour la vie de famille, hein. Mais ces moments là je les passe en tremblant comme une feuille, la tête qui tourne, les jambes en coton, certaine que je ne vais pas survivre. Ces vertiges m’obsèdent et me crucifient. 

Je prenais déjà pas mal de médicaments, maintenant j’en prends aussi contre les vertiges (plus ou moins de mon propre chef), et bien sûr les anxiolytiques ne doivent pas arranger l’état d’hébétude perpétuel dans lequel je suis. Mais je ne peux pas les arrêter, les attaques de panique sont trop terribles.

Mes migraines, toujours elles,  sont devenues quasi-chroniques, j’ai perdu beaucoup de poids parce que je ne vois pas trop l’intérêt de me nourrir et puis de toutes façons j'ai une énorme boule dans la gorge, je ne me maquille plus : je me lave et je mets au pif ce qui me tombe sous la main pour ne pas être à poil, mais c’est tout. Je me dis « à quoi bon » ? Puisque de toute façon j’ai constamment l’impression que je vais mourir. J’ai peur, tout le temps. De devenir folle aussi. Je pleure, je me sens minable, j’ai honte et en même temps je suis comme clouée sur place. Je ne sors plus, je me sens ou me crois ? trop faible, et puis sortir c’est être exposée, au milieu de gens, loin de tout endroit safe.

Le problème justement c’est que je n’ai même plus d’endroit safe où me réfugier. Chez moi j’ai peur. Dehors j’ai peur. J’ai passé deux nuits chez mes  parents (oui je sais à mon âge c'est pitoyable) en me disant qu'en cas de problème (haha) ils prendraient soin de moi. Le pire c'est que ça ne marche même pas, je suis là aussi une boule de nerfs et d'angoisse en attente de (à guetter?) ce qui va ou pourrait m'arriver d'horrible. Ce n’est pas que l’Homme s’en fout mais dans ces circonstances je l’énerve et il n’est pas disposé à me rassurer. Au contraire, il me pose des ultimatums, me dit de me secouer sinon… Peut-être qu’il a raison, que c’est la chose à faire. Et c'est vrai que j'aurais besoin d'une vie plus structurée, avec une horloge biologique plus "normale" _encore une fois, et une activité. Parce que là c'est sûr qu'après avoir fait mes quelques tâches ménagères incontournables (et avec quelle peine!), je me retrouve assez auto-centrée, avec tout le loisir de voir et sentir ce qui déraille. Ou pourrait dérailler. Mais là dans l'immédiat, inutile de penser à travailler. Déjà, écrire ce billet me demande un  effort  considérable, c'est dire.

En attendant, je suis de retour chez papa/maman, mon mari et mes filles passant une semaine au ski. Je n’ai même pas essayé d’y aller, je m’en sentais totalement incapable. Mon psy et mon médecin traitant m’ont dit que je devais y aller, que ça ne pouvait me faire que du bien. Mais franchement si je suis dans cet état allongée sur un lit chez mes parents, comment pourrais-je ne serait-ce que faire le trajet jusque là-bas sans péter un câble ? Et puis j’ai cette sensation d’irréalité permanente, l’impression d’être défoncée et totalement désorientée. J’ai du mal à savoir quel jour on est, ou plutôt à « ressentir » ce genre de choses. C’est difficile à expliquer.

 

Je revois donc un psy. Un autre. Deux séances, et en une semaine il avait complètement oublié pourquoi je venais le voir, et pourtant Dieu sait ce que ça me coûte comme volonté et comme angoisse d’aller jusqu’à chez lui. Bien sûr il m’a prescrit des anti-dépresseurs, à une dose un peu supérieure à celle que j’ai déjà eue. Mais sinon je n’ai pas l’impression qu’il essaie de comprendre. Enfin, deux séances, c’est peu pour juger, je lui laisse une chance.

 

Voilà, en gros. Je suis dans un état proche de celui qui vous vient en tête, je suis une mère et une épouse abominable en ce moment, et pour l’instant je ne vois pas comment me sortir de ce merdier.

 

Désolée d’être si plombante. Toutes les suggestions et les avis sont les bienvenus, évidemment.

 

A plus !

 

 

 

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 01:09

Mes beloved droughies, vous savez quoi ? Il y a des gens qui m’énervent ! Si. (Je sens que je vous étonne, là).

 

Par exemple et entre autres : Jodie Foster. Bradley Cooper. Mick Jagger (Thierry Mugler- Michael Shumacher- Cookie Dingler- -Jean-Pierre Mader…) Brian Molko.

Et Mika. MIKA !!! Putain.

 

 

Jodie Foster est diplômée du Lycée Français de LA.  Depuis, vas-y que c’est elle qui double toute seule comme une grande ses films et répond aux interviews in french. Elle m’agace hein! (mais je l’adore).

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"Hahaha! Ils voulaient engager une actrice française pour me doubler. Comme c'est drôle!!!"

 

Bradley Cooper a passé une année genre «échange Erasmus » dans une famille française. Et depuis, vas-y qu’il talke le français comme j’aimerais talker british. Il m’agace hein !

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"Bonjour, j'ai les yeux très bleus, on dit que je suis mignon et euh, ah oui aussi je parle français".


Mick Jaggerparle français depuis toujours. On sait pas comment et on ne veut pas le savoir. Il parvient même à transmettre l’humour anglais en français. Il m’agace hein !

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 "Salut, moi c'est Mick et je suis une pierre qui rûle. Tu veux que j'te lèche?"


Brian Molko est né et a vécu à Bruxelles et il maîtrise parfaitement le français. Il m’agace hein (non mais vraiment, lui. Poseur.)

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"Ouais salut-han, moi c'est Brian-han et je n'ai aucun problème d'identité sexuelle-han. J'utilise le mascara Millionizer effet faux-cils de Gemey Maybelline-han"


Mais le pire, que dis-je, le pire du pire, c’est Mika. Ce grand sifflet a vécu en France et ailleurs au gré des nominations de son diplomate de père, et le fait est qu’il parle français comme vous et moi (enfin comme moi surtout, vu que je cause la langue de Molière super bien. Sur Facebook, on m’appelle la Grammar Nazie, c’est dire).

 

Je me souviens d’une cérémonie de remise de prix où Tonya Kinzinger lui avait remis un trophée pour sa chanson « Elle Me Dit ». Déjà. Une chanson entièrement en français (si, même qu’elle était bien et dans le clip on voyait presque la chatte de Fanny Ardant). Bref, Tonya, attendez, vous allez vous rappeler qui c’est:

tonya-kinzinger-tiendra-le-role-de-la-productrice.jpg

"Je passais tûte mon vie à France, c'est pûr ça que je save pas parler la bouche". Vous la remettez, la sorcière blondiche de "Sous Le Soleil"?

 

Tonya donc, qui est mariée à un Français et vit ici depuis 3000 ans, a demandé  à Mika, avec un accent à couper au couteau, comment il faisait pour parler si bien et sans presque aucun accent. Il a répondu gentiment (un brin sarcastique ?) que c’était pas grave parce que son accent à elle était « super mignon ». Et bim !

Mika-sur-fauteuils-The-Voice--1-.jpeg

Tiens, si après la vieille Tonya je faisais aussi un peu chier les autres cons de The Voice?


Samedi dernier j’étais chez mes parents et j’ai dû subir The Voice. J’avais jamais regardé et je DETESTE. Mais… Mika ! Il parle, argumente, prêche pour sa paroisse avec brio (qui ?), justifie, questionne, le tout très à l’aise et dans un français parfait (oui bon, il a peut-être fait une petite faute. Et encore, je suis pas sûre).

Mika-sur-fauteuils-The-Voice--2-.jpeg

"Moi c'est Mika, et malgré mon hideux costard en velours bleu de PD (quoi, je le sais?!) j'te pète en français ma cocotte. Haha! Allez viens je t'attends!"


Agaçant le gars je vous jure. Je le hais. (Mais je l’aime bien). D’ici à ce que je me refasse une petite The Voice session demain rien que pour lui les gars…On est à deux doigts (oh ouiiii !)


Mika-sourire.jpeg

Oh merde, j'ai vexé Garou: il a plus d'accent que moi.


Remarquez enfin que j’ai préféré passer sous silence le cas suspect et néanmoins désastreux de Jane Birkin.

 

 

So then, see you soon here my dear dudes and dudettes !

 

 

 

 

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29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 01:53

Hello mes crottes en chocolat fourrées !

 

Actualité du gotha oblige, on va zapper encore un peu Irving. Vous me direz qu’au point où on en est c’est pas deux (ou trois) jours qui changeront grand-chose, surtout que je poursuis ma défloraison en lisant actuellement  « Une Prière Pour Owen ».

 

 Bref mes droughies, vous le savez, actualité layette sur le Ferrero Rocher, où la maintenant ex- grosse Chacha a finalement démoulé un petit mâle le 17 décembre dernier.(Le même jour que Fille Cadette, ils vont pas s’ennuyer je vous le garantis).

kim-kardashian-et-charlotte-casiraghi-35870_w1000.jpg

Avant sa grossesse, Chacha s'habillait comme Kim Kardashian. Et ça, ça craint.


Faux-ventre.jpg

Pendant sa grossesse, elle ne s'habillait pas.


Et puis, il y a quelques jours...


Charlotte-enceinte.jpg

"Gadou, ayé j'ai la chounette en fleur, je file à la mater, rejoins-moi".

 

Le gluant a été doté d’un prénom comportant, comme l’a chanté en son temps la so-called Raie Publique « 4 consonnes et 3 voyelles », car oui, c’est le charmant prénom de Raphaël. A la fois biblique (hé ho, je suis allée à Saint-Raphaël moi, alors me cherchez pas des poux) et artistique (quoi, vous connaissez pas le célèbre graffeur du 93?) ce choix satisfait toutes les parties concernées.

Un petit scandale a déjà hélàs entaché le glorieux jour de la naissance du petit Elmaleh. En effet, un obscur sbire de la Principauté (genre conseiller municipal) s’est permis d’annoncer la grande nouvelle à la presse alors que, SG est bien placée pour le savoir, les us eussent voulu que Mamie Caro herself s’en charge. Et personne d’autre. Oups.

Je vous prie de croire qu’Albie s'est fâché tout rouge et en a momentanément perdu ses bonnes manières, avant d'être rappelé à l'ordre par son entourage.


Albert.jpeg

"Putain, t'as cru pouvoir passer devant Monseigneur? Tu vas voir enculé, je vais te souffler dans les orteils, moi!"

 

Aucune photo du morveux n’a encore été dévoilée mais on sait que les parents sont blablabla très heureux, le petit et sa maman blablabla en forme. Tout le monde est content quoi.

 

On ne peut toutefois s’empêcher d’être très inquiet au sujet de la susnommée Mamie, qui a montré tout récemment des signes de folie. Carrément.

Déjà, on l'a vue au début de la grossesse de sa fille vêtue comme une cagolasse de télé-réalité lors d'un événement hippique huppé (allitération en "h"). En regardant cette photo on peut se demander qui est la plus mémère des deux.


Caro-et-Charlotte--1-.jpg

- "Putain Chacha, t'as des gaz ou quoi? C'est quoi ce bide?"

- "Ferme-là, t'es encore bourrée. Et c'est quoi ce fute en papier cadeau qui te rentre dans la chatte? Tu m' fous la 'shuma, merde!"

 

Tenue-Caro.jpg

Puis le mois dernier, tout est allé très vite. Observons la tenue de Caro de plus près:

Bracelet-Caro.jpeg

Elle porte ici les bouchons des bouteilles de champagne qu'elle vient de s'enfiler autour du poignet. Ca fait riche...

 

Mais le pire se situe tout en bas. On pense que vu son état de démence avancé, ses proches la laissent se vêtir à sa guise pour ne pas la braquer. On doit à tout prix éviter un internement trop précoce.


Caro-et-Charlotte--2-.jpg

Oui, vous avez bien vu: la princesse se balade chaussée de vieilles savates "décorées" d'orteils peints so distinguées. Jésus-Marie-Joseph.

 

Pauvre vieille chose, être deux fois grand-mère la même année ne lui réussit manifestement pas.

 

Bien entendu, Charlie-La-Déconneuse a montré un enthousiasme débordant à l'annonce de l'arrivée de son neveu. Mais voilà que la pauvre semble atteinte du même mal que sa belle-soeur, à un stade moins avancé toutefois.

Charlene-de-Monaco-se-promene-a-New-York-le-29-octobre-2013.jpg

"I'm so happy I'm wearing high boots like Pretty Woman. And fuck you all. In the ass."


Rien de plus pour le moment sur ce sujet hautement croustillant mais comptez sur SG to keep you posted.

 

 

Bon réveillon et à l’année prochaine, mes chéris !

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 18:43

Mes choupinous, aujourd’hui j’hésite : debrief Irving ou debrief King ?

 

 

Je crois qu’on va « se débarrasser » de King (oui, vous avez bien lu) parce que j’ai pas mal de trucs à dire sur les deux Irving que j’ai avalés à la suite. Et comme c’était mon dépucelage Irvingien, ça mérite qu’on s’y attarde un peu. Si. C’est pas tout les jours que je me fais sauter la rondelle, les gars.

 

Voici donc le dernier King, « Docteur Sleep ». En moins de trois ans Stephen nous a pondu trois romans, et celui-là était peut-être de trop, après les super réussites qu'ont été  "11-22-63 » et « Joyland ».


doctorsleepcover_us_stephenking.jpg

Oui ben on a failli s'endormir aussi, hein.

 

SK nous livre ici une suite à « The Shining ». Enfin, pas vraiment une suite. La jaquette nous annonce qu’on va savoir ce qu'est devenu Danny « Doc » Torrance, le petit garçon (redrum et tout et tout, remember ?)

 

danny-lloyd-shining.jpg

 Là, Danny , qui pédalait tranquillement sur son tricycle, tombe sur deux jumelles mortes (et vilaines) qui lui demandent de jouer avec elles. Mais vas-y, quoi!

 

Moi j’aurais aimé reprendre l’histoire là où elle s’était arrêtée, quand l’Overlook, après la crise de démence finale de Jack le papa à la hache et le sauvetage in extremis de Danny et sa mère, avait cramé. Mais non.

On retrouve Danny (devenu Dan) de nos jours, la trentaine bien sonnée. Il erre de ville en ville, de job en job, toujours une bouteille à la main. Car Danny est alcoolique. Comme son père. Ce qui, compte tenu de ce qu’il a vécu autrefois et trimbalant toujours son Don (le fameux shining) n’est pas vraiment étonnant. Il reçoit d’ailleurs encore la visite de certains personnages rencontrés à l’Overlook (la morte décomposée dans la baignoire, le manager putréfié de l’hôtel_lovely), et ça il aime pas. Las de sa vie sans repères, Dan échoue dans un bled du New-Hampshire et prend un job d’aide-soignant à l’hospice local, où, grâce au Don,  il aidera les patients à « passer » le moment venu. D’où son sobriquet de Docteur Sleep. Parallèlement il s’inscrit aux AA et débute son long chemin vers la sobriété (alléluia).

Au même moment naît dans le coin Abra,  une petite gluante qui montre très tôt le même genre de  dispositions  que Dan. Dès qu’elle est en âge de le faire elle entre en contact télépathique avec lui (il y a beaucoup _trop ? de contacts télépathiques dans le roman) et les voilà désormais liés dans une lutte sans merci contre un groupe de nomades dotés eux aussi de pouvoirs paranormaux, mais les utilisant à de sales fins, les vilains. En clair, ces itinérants  sont comme des vampires, se nourrissant de la vapeur des enfants comme Abra, qu’ils enlèvent et tuent après les avoir horriblement torturés.

Ensemble, et après s’être découvert un lien de parenté tiré par les cheveux pour ne pas dire ridicule, Dan et Abra viendront à bout des vampires surnaturels bouffeurs d’enfants sur le site même de feu (hihi!) l'Overlook.

 

Ouf ! Bon, le livre est confus comme mon résumé et pas vraiment convaincant. Touffu mais bizarrement manquant de substance, difficile à suivre (quand on ne suit pas des transmissions de pensées, on doit essayer de comprendre qu'un personnage esr carrément entré dans la tête de l'autre et a pris son identité. Ouille). Décousu, truffé d’invraisemblances, sans personne à qui s’identifier (moi du moins) bref,  c’est loin d’être le meilleur King. Et pour moi qui apprécie surtout la façon dont il parvient généralement à décrire ses personnages et leurs interactions, c’est une amère déception. Trop d’action et pas assez de fond ? Trop de surnaturel et d’ABRAcadabrant (haha) ? Sans doute.

 

Quoiqu’il en soit, si vous êtes encore King-vierge,  ne choisissez pas « Docteur Sleep » pour vous déflorer. Plutôt l’un des deux cités plus haut. C’est important une première fois, on s’en souvient.

 

C’est pour ça que la prochaine fois on parlera de John Irving.

 

A plus mes droughies !

 

 

 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 20:58

Blimey les droughies. Jones is back.


 bridget-jones-mad-about-the-boy-book-jacket.jpg

 

J’avais aimé  "Bridget Jones’ Diary". A l’époque (1999), c’était nouveau et rafraîchissant. Un peu le début de la chick-lit. Le ton libre et impertinent, les beuveries de nanas célibataires, les grossièretés, les gaffes,  la fille qui finira « bouffée par ses Dalmatiens » c’était drôle.

Puis j’avais enquillé « The Edge of Reason » («  l’Age de Raison »_ pour une raison inconnue j’ai lu tous les BJ en anglais) surtout parce que j’identifiais désormais Mark Darcy à Colin Firth ou inversement et que j’aime beaucoup Colin Firth.


CF.jpeg

I heart you Colin/Mark <3

 

Alors résumons-nous : dans sa trentaine (thirty-something) solitaire, désespérée et avouons-le un peu pathétique, Bridget a shaggé  moult fois Daniel Cleaver,  son baiseur-en-série de patron, tout en essayant d’éviter Mark Darcy, que leurs mères respectives tentaient de lui refiler à toute force. Daniel est dangereusement sexy (Hugh Grant, mouais), il picole sévère et sort sa quéquette à tout bout de champ.

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HG--1-.jpeg

I'm so sexy with my 142 so white teeth!

 

Mark est avocat international,  sérieux comme un pape, un peu terne (but quand même fuck, c’est Colin !) et amoureux coincé de Bridget depuis des lustres. Pourquoi, comment ? Mystère. Mais c’est ainsi.

Bien sûr, Mark se révèlera beaucoup plus fun qu’on ne le pensait, Bridget se lassera des crasses de ce salaud superficiel de Cleaver pour revenir à la raison et réaliser, enfin,  que c’est Mark qu’il lui faut.

Début d’une improbable grande et belle histoire d’amour.


Bridget---Mark.jpeg

-"Haha Mark, I've just farted!"

- "Shut up Bridget you're making a fool of yourself. Again".


C’est donc là qu’on avait laissé nos héros.

 Avec « Mad About The Boy » j’espérais tout savoir sur la vie commune (agitée et pleine de quiproquos, hopefully) de Bridget et Mark.

 

Que nenni ! Attention spoilers.

 

Bridget a maintenant 51 ans. Deux jeunes enfants. Et elle est veuve.

Mark est mort (MORT putain !!!) dans un attentat politique au Soudan quatre ans auparavant.

Elle a du mal à reprendre le dessus et déconne à plein tubes (c’est du moins son avis) avec ses gosses mais secondée par une nounou à plein temps, son pseudo boulot de scénariste (car Mark, en homme merveilleux qu’il était, ayant sans doute prévu qu’il fermerait le parapluie prématurément, l’a mise à l’abri de tout souci d’ordre financier) et sa bande de potes. Les mêmes en plus vieux mais plastered à la moindre occasion.  Elle bouffe et boit toujours de façon compulsive. Lesdits potes estimant qu’il est temps pour elle de se remettre sur le marché du sexe, la voilà qui commence à twitter comme une petite folle car de nos jours, c’est comme ça qu’on drague, paraît-il. Et elle rencontre des mecs, tous beaucoup plus jeunes qu’elle. Des toy-boys. Bridget se transforme en cougar. Quoi.

Au terme de quelques péripéties elle finira évidemment avec un type de son âge, aussi improbable pour elle que l’était Mark, et que le lecteur avait flairé dès sa 1ère apparition dans le bouquin. Seule la Bridge ne le sentait pas, le gars.

Non seulement l’ « histoire » est plate et décevante, mais la forme est pénible. Dans le premier tome, le mode journal était original. Aujourd’hui c’est relou. On a encore droit au compte quotidien des calories et unités d’alcool ingurgitées, au poids de la Jones et au nombre de Tweets ou de Textos reçus ou pas. Ca plus le style télégraphique trop présent, c’est chiant et même pas drôle. Et puis je suis personnellement très gamine, mais à 51 ans, continue-t-on vraiment à trouver hilarante la moindre allusion aux pets et au vomi ? Parce que Bridget, elle, ça la fait carrément gondoler. Elle a des renvois accompagnés, elle pète à cul rabattu et ça la fait marrer la conne.

Comment Mark a-t-il pu supporter cette sotte, cela reste un mystère pour moi.

Et Daniel ? Il est toujours là lui (merde alors !) pervers mais inoffensif avec Bridget et devenu le parrain et baby-sitter occasionnel des enfants (wtf ?) Bon, il finira en rehab. Ce qui est un minimum.

Vous l’aurez compris, on aurait aisément pu se passer de cette sequel. Et en plus, si un film en est tiré, il n'y aura pas colin Firth. Ouin.

 

 

A bientôt pour d’autres book reviews mes chéris !

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25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 02:07

Hello droughies from my posse! SG is in da house!

 

Hier a eu lieu le royal christening de ce petit imposteur de George, et me voilà ready à vous narrer le truc.

 

Mais d’abord un nouveau point « Kate nous agace » : la semaine dernière, elle a décidé de jouer un peu au volley, histoire de montrer à la  galerie son ventre parfaitement plat et ses cuisses fermes, moins de 3 mois après son pseudo accouchement. Non mais de qui se moque-t-on ?


Kate-Middleton-joue-au-volley-pour-l-association-Sports-Aid.jpg

 Bitch!

 

Kim Kardashian, elle aussi jeune primipare, a voulu se la péter "j'ai-un-corps-de-rêve" comme la duchesse, mais allez savoir pourquoi ça fait pas pareil.


Kim-Kardashian-montre-ses-fesses-sur-Instagram-le-17-octobr.jpg

Non. Y a un truc qui déconne.


Heureusement, hier 23 octobre de l’an de grâce 2013, pour le baptême du royal gluant, Kate ressemblait à une île flottante  sur de la custard périmée, ce qui nous a remonté le moral.


Kate-et-Harry.jpg

Harry, bourré de la veille, venait de dégobilller sur l'épaule de sa belle-soeur, aussi s'est-il fait discret sur les photos.


 Avant de passer au récit de la journée j’aimerais faire part de quelques inquiétudes concernant cette petite famille : Wills a offert à sa promise la bague de fiançailles que sa mère, la late Diana, avait portée. Ensuite, Kate a fait sa première apparition publique devant la maternité dans une robe bleue à pois blancs quasi identique à celle de sa défunte belle-mère après la naissance de William. Enfin, St James Palace a été choisi pour le baptême car le corps de Diana y a reposé dans l’attente de ses funérailles. William pense que c’était là une «  bonne façon d’associer (sa) mère à l’évènement ». Mouais, perso je trouve tout ça un peu morbide, mais bon.

 

A seize heures pétantes, les invités, au petit nombre de vingt-trois, se sont donc retrouvés à St James. William tenait le bébé, qui ne ressemble à personne (et pour cause) ni à rien d’ailleurs, lequel était emmailloté dans une robe d’apparat portée il y a houlà, longtemps, par la fille de la reine Victoria. Quelle petite tapette, ce Georgie.

 

Le-prince-William-et-Kate-Middleton-lors-du-bapteme-du-prin.jpg

 "But who the fuck is that little thing dressed like an old doll, Kate?"

 

Les sept parrains et marraines ont pour la plupart des noms à coucher dehors et des gueules à arrêter les pendules, mais on a reconnu Pippa Middleton,  accompagnée de son frère James, et la cousine de William et Harry Zara Phillips (fille de la princesse Anne, pas invitée _la boulette) qui ne va pas tarder à dépoter elle-même.


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 Oh God! Soon I'll have a baby, too!!! How scary!


Bien entendu la Queen était présente, flanquée de ce vieux pervers de Philip, qui, si l’on en croit les photos, l’avait la veille au soir initiée au coït anal.


Reine-et-Philip.jpg

"Gosh Philip, why did you precisely choose last night to fuck me in the ass?"


Harry s’est fait discret donc, sans Bonnasse Du Cresson. Il faut dire qu’on les avait récemment spottés dans une position plutôt délicate, essayant de se sniffer le postérieur.


Le-prince-Harry-et-Cressida-Bonas-apres-le-concert-de-James.jpg

 -"C'mon Harry, take your jeans off!"


Fergie, Andrew et leurs filles n’avaient pas été conviés. En même temps ils font peur à voir, et l’on redoute à chaque instant que les efforts manifestes de Beatrice pour empêcher ses yeux de quitter leurs orbites ne soient vains.


Le-prince-Andrew-et-Sarah-Ferguson-a-la-remise-de-diplome-d.jpg

 WOW!!! Dreadful.


Après la cérémonie religieuse un petit goûter a été donné, et chaque invité a reçu une part du gâteau de mariage de Kate et Wills (qui date de 2011, quand même) en souvenir. Miam, et bonjour e-coli !


le-gateau-de-mariage-de-william-et-kate-10449765nrchi_2041.jpg

Poisoned cake.


Mais sachez, mes chéris, que certains beautiful people étaient plutôt fumasses de ne pas avoir été invités. Aucun membre de la Principauté n’était là, par exemple. Aux chiottes l’Albie, la Steph et la Caro. Chacha, elle, est maintenant bien trop grosse pour se montrer en public. Restait Charlène, la déconneuse-du-Rocher. Mais après avoir vu le rouge à lèvres assorti à son sac à main qu’elle comptait porter pour le baptême les Windsor ont préféré l’éviter.


Charlene-de-Monaco-au-defile-Louis-Vuitton-le-2-octobre-201.jpg

 -"But that was my Halloween makeup, I swear!"


Une qui s’en sort plutôt bien et aurait pu représenter Monaco c’est Pauline Ducruet, la fille de Steph et de D.D le poissonnier. Elle est plutôt pas mal, considering.


Pauline-Ducruet-la-fille-de-Stephanie-de-Monaco-star-de-la-.jpg

 Mignonne, non?


Enfin, triste histoire qui secoue le gotha ces temps-ci, l’infidélité supposée du gros prince Emmanuel De Savoie, qui tromperait sa pourtant trâès distinguée Clotilde Courau avec la fermière Karine Lemarchand. N’importe quoi.


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 M'enfin Monseigneur, vous vous égarez!

 

 

Sur ce je vous laisse, mes choux couronnés, en vous disant à bientôt !

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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 02:16

Salut mes chéris !

 

Aujourd’hui un truc que j’hésitais à faire, mais comme Odile ne s’en est pas privée je me lance :  je vais vous dire du mal d’un bouquin.

D’ordinaire je ne déteste pas Douglas Kennedy. J’ai aimé certains de ses récits de voyage et carrément adoré son roman « Piège Nuptial », dont le titre d’origine en français était « Cul-De-Sac », bien meilleur à mon avis. Je me suis donc acheté le nouveau, intitulé « Cinq Jours »  avec la quasi assurance de passer un moment, sinon de grand émoi littéraire (oh non), du moins de détente.

 

Mais alors, quelle purge !

 

Déjà, le truc est écrit à la 1ère personne d’un point de vue féminin, et j’ai toujours du mal quand un auteur se met dans la peau de l’autre sexe pour parler. Bon, mais si il n’y avait que ça ce ne serait pas très grave.

 

C’est l’histoire de Laura, qui approche de la quarantaine et s’ennuie dans sa vie bien rangée. Laura est une insatisfaite chronique, une geignarde pire qu'Emma Bovary. Lors d’une conférence pour son boulot elle croise un agent d’assurance mal marié qui ne paie pas de mine. Coup de foudre réciproque total, bouleversement des deux vies, grandes décisions : chacun rentre chez soi pour larguer conjoints et enfants et  s’installe ensemble.

Tout ça au bout de vingt-quatre heures. Mais (car il y a un mais) l’homme est faible, lâche et pas téméraire, et il reculera « devant le bonheur » au dernier moment.

 

Ce livre est nul. Tout y est ridicule. La pénible Laura, qui a: un époux charmant et attentionné mais qui ne lui procure plus (après des années) la passion des débuts. Une fille ado qui l’aime mais l'agace. Un fils artiste  dépressif-torturé qui, seul, trouve grâce à ses yeux (c'est dire si elle est tordue). Une belle maison et un bon boulot. La meuf se plaint en long en large et en travers de sa vie morne et sans passion. (Ben oui cocotte, mais c'est un peu comme ça que ça marche, non? On passe de la passion à un amour plus...serein et moins épuisant, au final). Son mari lui envoie un SMS alors qu’elle est au loin et termine par « love » (sic). Voilà notre Lolo  frustrée et en colère car évidemment il ne fait cela que pour maintenir le statu quo dans leur relation et son « love » (pourquoi "love" d'abord?) n’est pas sincère. Je sais pas vous, mais moi, quand l’Homme m’écrit un Texto il finit rarement par « je t’aime » et je suis déjà bien contente qu’il m’ait envoyé un message.

Dan et elle ne font plus l’amour « que trois fois par semaine ». Ben euh, c’est pas si mal au bout de 20 ans de mariage hein. Ma grosse.

 

Et puis c’est BAVARD d’une force ! Du début à la fin les mêmes thèmes sont ressassés, retournés dans tous les sens, décortiqués comme des boucs        (c'est des petites crevettes grises, les droughies), répétés encore et encore…ça gave. Ca se mord la queue.


Et la  brève rencontre est tout bonnement risible. Le gars (Richard), d’abord désigné  comme « insignifiant », devient pouf ! d'un coup d'un seul extrêmement séduisant. Car Laura le relooke des pieds à la tête (« Pretty woman, walking down the street… ») le lendemain de leur rencontre, et les voilà qui obtiennent en deux heures un appartement sublaïme pour abriter la vie entière d’amour qui s’offre à eux. Bien sûr, dans cette ville qui n’est pas la leur (Boston), ils n’ont aucun mal à s’envisager un boulot chacun dans leur branche précise. Tout ça entre deux joutes verbales passionnées et passionnantes_pour eux sur l’art, la littérature et la sémantique, leur dada commun. Bref, tout se goupille au mieux et en deux temps trois mouvements comme dans un rêve.

Sauf que.  L’homme est faible, lâche…blablabla.

 

Bref, tout ça pour ça.

 

N’achetez pas « Cinq Jours » de Douglas Kennedy, vous vous ferez une faveur.

 

Là je suis à cheval entre deux Irving (toujours recommandés par Odile, mon mentor littéraire), j’ai un Richard Yates à debriefer et je vais recevoir le nouveau Helen Fielding, « Mad about The Boy » ou la suite des aventures de la pathétique Bridget Jones. Une prochaine book review se profile, donc.

 

 

Mais avant, n’oublions pas l’évènement gothesque du mois (de l’année ?) : le baptême de George le bâtard, dans deux jours. Ses parents nous avaient déjà emmerdés en se mariant un vendredi, maintenant voilà qu’ils baptisent leur chiard un mercredi. Qu’est-ce qu’ils ont les sangs bleus ? Ils savent pas qu’en général on fait pas ça en semaine ?

Enfin, vous vous en doutez, SG vous debriefera la sauterie ici même sous peu, tout en criant à l’imposture, et, n’ayons pas peur des mots, au blasphème et à l’hérésie, si l’Archevêque de Canterbury himself ose porter un roturier sur les fonts baptismaux.

 

A bientôt, mes p’tits crapauds !

 

 

 

 

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29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 19:01

Mes droughies, que diriez-vous d’un petit point sur nos têtes couronnées et nos pipoles ?

 

Du côté des Windsor, Kate nous énerve de plus en plus. Il faut dire que le foutage de gueule général continue. En effet, il y a quelques jours, soit 2 mois après avoir prétendument accouché, elle s’est pavanée dans une soirée de la haute vêtue d’un fourreau pailleté (enfin plutôt rebrodé de pierres précieuses hein, c’était pas du strass de chez Claire’s) bien moulant, prouvant très clairement qu’elle n’a jamais été enceinte.


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"Well sure, I was pregnant 2 months ago!"

 

Néanmoins _sortez vos agendas_ le couple princier a annoncé pour le 23 octobre le baptême du bâtard donc répondant au doux prénom de George. Harry et Pippa feront partie des parrains et marraines (car le petit imposteur en aura toute une flopée).

Tonton Harry, justement, vient de se faire remarquer en s’enfermant 20 heures durant dans une chambre froide agrémentée de rafales de vent glacial. Tout ça pour se préparer à un trail humanitaire en Antarctique.


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"Crap it was cold. Now I need to DRINK. A lot."

 

Sa  promise, la charmante Cressida Bonas, que nous surnommerons affectueusement ici Bonnasse Du Cresson, a flippé : et si les boules du prince avaient gelé, mettant ainsi en péril leur future potentielle descendance ?


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"I AM drinking, Harry.  But YOU should mind your bollocks, moron"

 

 Ah, quelle insouciance ! Et la belle-sœur qui de nouveau fait chier : Bonnasse  a en effet pour demi-sœur une certaine Isabella Anthruder Blablabla (nom à rallonge), qui n’est autre que la donzelle que William a bourriqué lors de sa séparation d’avec Kate, il y a quelques années. Ca la fout mal.


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"Yes I saw (and touched) William's privates. Haha!"


Les Monaco, eux, se sont rendus aux US pour rendre visite à Barack et Michelle. Cette déconneuse de Charlène, qui a fait l’école du rire, ne l’oublions pas, a tout bonnement dépouillé Michou avec ses histoires drôles et ses grimaces. Malheureusement la princesse s'était trompée de trou en mettant son Tampax, ce qui explique son expression un peu égarée.


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-  "Who am I? Where am I? Why am I ? What's happening?"

- "Haha, you're SO funny, Charlene!!!"


Lors du dîner officiel on a toutefois frôlé la catastrophe lorsque Charlie a réalisé que tout le monde sauf elle était sur son 31, puisqu’elle avait gardé son fute de yoga. Mais les Obama  en on vu d’autres et ont su garder le sourire,  surtout que la princesse a détendu l’atmosphère en faisant, comme d’habitude, sa bouffonne à table. Rots, pets, blagues salaces, tout y est passé.


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- "I'm farting so hard my yoga pants might catch fire, hahaha!"

- "Oh please stop it Charlene, we can't stop laughing!"


Pour finir, un petit tour à la Fashion Week londonienne, où un évènement d’importance a eu lieu : Anna Wintour (rédac’chef du Vogue US) a souri à la vue du It accessoire de David Beckham, la jeune Harper, se trémoussant sur les genoux de papa lors du défilé de maman Vicky.


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Anna Wintour au comble du bonheur. Comme dans la pub (qu'elle a d'ailleurs inspirée) Anna porte en toutes circonstances un slip en toile de jute, ce qui lui garantit un sérieux inaltérable.


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- "Is it alive? Daddy, I want to touch it!" (A côté c'est Anna qui sourit (si si) en robe à fleurs bleues)


Pour rester dans la même veine, une bien triste nouvelle a été confirmée. Donatella Versace est bel et bien décédée il y a quelques années. Et si on peut la voir aller et venir ça et là c'est grâce à un ingénieux système de puces électroniques qui permettent de la télécommander à distance.


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Morte et même momifiée, voici Donatella V.

 

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"I see dead people". On comprend mieux le petit garçon terrorisé de "6ème Sens" maintenant.


Voilà mes chéris ! Next stop, le démoulage de Charlotte from the Rock. Ou le baptême du bâtard. On verra qui gagne au finish.

 

A tout bientôt !

 

 

 

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 01:30

Ah, mes droughies, vous êtes curieux comme des chattes, hein ! Je vous adore mes coquin(e)s. Il y a du nouveau dans le monde enchanté du gotha, et bien sûr SG est sur le coup.

 

Traversons tout d’abord la Manche-the Channel, pour nous intéresser aux heureux (mouhahahaha !) « parents » de George-le-petit-bâtard-d’imposteur-qui-se-fait-passer-pour-l’héritier-du-trône. Ainsi que SG le subodorait récemment, il est désormais évident que la duchesse de Cambridge, Kate quoi, n’a en fait jamais été enceinte. Elle a porté un faux ventre les derniers mois et hop ! Ca a a fait la blague.

En effet, observons bien la photo prise à la sortie de la maternité, le lendemain de la naissance (HAHA!) supposée du gluant. Non seulement le coussin placé sous sa robe est ridiculement volumineux, mais en plus il a été fourré là à la va-vite, et l’on distingue clairement le motif qui le décore : un bébé phoque blanc, la tête légèrement inclinée sur le côté. L’air narquois de la duchesse aurait dû vous mettre la puce à l’oreille, mes chéris.


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 "Jeez, this bloody cushion is itching me"

 

Déjà on nous prenait pour des cons. Mais que dire alors lorsque la « radieuse maman » (HAHAHA !) est apparue il y a quelques jours poussant son caddie telle une Jeanine lambda au supermarket vêtue (introduite dans) un slim et une petite marinière ne laissant plus de doute. Quelle mère, à peine un mois après avoir accouché, peut arborer cette silhouette ? Sans parler de la mine dispose et des cheveux propres.


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Elle était enceinte en juillet??? Non mais hihihihi!!! Quoi.


Idem lors d’un marathon qu’elle a couru non je déconne auquel elle a assisté avec son grand sifflet chauve de Wills : petit slim, tunique, teint de rose et crinière de laïonne.


Kate-Middleton-etait-au-Marathon-Ring-O-Fire-d-Anglesey-le-.jpg

 Arrêtez, je fais pipi dans ma culotte!


Alors, les filles qui me lisez, je sais pas vous, mais SG, après ses accouchements, ressemblait plutôt à ça :


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Du caca sur le front, les dents pas brossées depuis des semaines, les yeux exorbités. Sans parler des cheveux.


Ou à ça, quand je faisais un effort, ivre de fatigue, mais dans un bon jour.

 

Sorciere--2-.jpeg

 "Salut, oui ça va super, je suis si heureuse d'être maman!"


Donc, les choses sont bien claires désormais, George n’est qu’une supercherie géante.

 

Sa « mamie » a d’ailleurs dû se retourner plusieurs fois dans sa tombe ces derniers temps. D’abord à cause de cette mascarade, ensuite au sujet du biopic qui lui est consacré et sortira en octobre. J’en ai vu quelques images et je vous assure que généralement j’aime bien Naomi Watts. Mais là !!! Lui trouver une ressemblance avec Diana, même avec les fringues, le maquillage, les perruques (nulles) et les effets spéciaux, c’est dur. Moi je trouve qu’on dirait plutôt Camilla-la-momie.


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Thank God I'm dead. 


Mais une bonne (?) nouvelle se profile toutefois à l’horizon briton. Le cher et tout mignon tonton Harry aurait fait sa demande officielle à sa nana, la danseuse  humhum de 24 ans Cressida Bonas (quel joli nom! Ca ne s’invente pas).


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"Oui j'suis Bonas, ça vous défrise?"


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 Harry et Cressi (décidément) sur leur 31 au mariage d'un de leurs amis de la "haute" (à qui ils ont apporté des Paniers de Yoplait bien sûr)

 

Les deux furent présentés l’un à l’autre par la cousine du prince, la vilaine  Eugénie Jambon d’York, fille d'Andrew et de la considérable Fergie (qui, on le murmure, pourraient se remettre à la colle. Oh merde).


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"Darling, we are so beautiful!"


Je vous prie de croire, les amis, que SG surveille tout ça comme le lait sur le feu.


Le Rocher, maintenant.

Ayé ! Andrea et Tatiana (je me ferai jamais à ce prénom) ont régularisé leur situation, dans une relative discrétion, je dois dire. Mais Tat étant colombienne, il est probable que son père, ses frères, ses oncles et cousins soient des barons de la drogue, ce qui expliquerait que la noce ait fait profil bas. Une seule image du grand jour a filtré en Une de… Monaco-Matin. Wow !


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 - "Andrea, estamos unidos, hihi!" - "Ta gueule Tatane, t'es encore défoncée".


Comme on le voit les époux ont opté pour une mise hippie chic (?) ce qui semblait être le thème de l’évènement, au vu des photos de l’enterrement de vie de jeune fille, avec pléthore de gonzesses en robes blanches et couronnes de fleurs cucul. C’est dire si tout le monde a dû se mettre copieusement le nez dans la chnouffe, dans cette ambiance bien fly away. Notons au premier plan à gauche la grosse Chacha, sœur du marié et prochaine sur la liste à avoir le Boeing en bout de piste. La pauvre était tellement déglinguée qu’elle a pris un chien pour son fiancé Gad et l’a tripoté toute la soirée.

Enterrement-vie-de-jeune-fille.png

"Mon Gad chouchou, tu t'es pas rasé les bouboules ce matin, ça m'excite!"

 

Quelle tristesse.

Enfin, ainsi va le gotha, et prenons donc rendez-vous pour le dépotage de Charlotte et les fiançailles d'Harry et de sa bonnasse.

 

A tout bientôt mes sujets chéris!

 


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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 02:26

Hello mes poussins rôtis !

Autant vous l’avouer tout de suite, j’ai encore lu un Stephen King.

Dois-je me flageller ? En tous cas j’envisage sérieusement la rehab.

En juin j’ai appris que son nouveau roman était paru aux US. J’ai pas pu résister, je l’ai commandé et dévoré gloups dès que je l’ai reçu, laissant tomber au passage un Irving, pourtant très chaudement recommandé par ma chère Odile. Mais je vais m’y remettre.

L’objet, intitulé « Joyland » est relativement court, (enfin près de 300 pages mais King est capable de bien plus) et j’entrevois la possibilité qu’il soit mon préféré. Il figure indéniablement dans le top 3, en tous cas.


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Houlà! Ca fout les chocottes, cette couverture! Non?


Le plot : été 73, un jeune homme prend un job dans un parc d’attraction de Caroline du Nord. Il va y croiser beaucoup de gens, vivre des expériences, rencontrer au moins deux personnes qui changeront sa vie. Bien sûr, le surnaturel (sous la forme d’un manège hanté) est présent, mais de façon très ténue. Et, fait inédit je crois dans l’œuvre de King, c’est un vrai polar, avec mystère, suspense et meurtrier démasqué à la fin. Mais ce que j’ai préféré, comme toujours, c’est l’évocation de l’époque, des caractères/characters, et la tendresse et la nostalgie que SK sait si bien insuffler dans ses récits et portraits.

Que vous soyez fans de base de King ou non, vous aimerez « Joyland », je vous le garantis.

A lire en anglais, pour l’instant, ou bien vous devrez ronger votre frein pendant encore au moins un an.

Et la prochaine fois ,  je parle d’Irving.

 

A tout bientôt mes droughies !

 

 

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